La bibliothèque renferme des milliers de livres (au moins vingt-huit armoires réparties dans toute la maison), hérités de son grand-père et de son père, donnés et dédicacés par les amis R. Rolland. B. Shaw, Gandhi, Barbusse, et d’autres achetés au fil des années et des voyages.
La bibliothèque renferme des milliers de livres (au moins vingt-huit armoires réparties dans toute la maison), hérités de son grand-père et de son père, donnés et dédicacés par les amis R. Rolland. B. Shaw, Gandhi, Barbusse, et d’autres achetés au fil des années et des voyages.
Tolstoï parlait et écrivait plusieurs langues, le français avec une prédilection évidente, mais aussi l’allemand et l’anglais.
Il était toujours en train d’apprendre une autre langue, tantôt le grec, ou le polonais, ou l’hébreu, ou l’italien, ou le hollandais ou le tatar.
Nombreux ouvrages en langues étrangères : classiques ou livres du jour.
Derrière la table, on retrouvera le divan de cuir noir dont il est parlé dans « Guerre et Paix » et « Anna Karénine ».
Ce divan, sur lequel des générations de Tolstoï ont vu le jour, lui venait de son père.
Voir également :
– Biographie
– Yasnaïa Poliana et Tolstoï
– La bibliothèque
– Le cabinet de travail
– La chambre à coucher
– Le comte paysan
– L’appartement
– La sépulture
Liens externes :
– Yasnaya Polyana
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