Les financements du GEF répondent à deux logiques temporelles : Les mesures de long terme préparées dans le contexte de programmes opérationnels élaboré par le groupe de travail I sur les changements climatiques, sur la Base des orientations du Groupe consultatif pour la Science
et la Technologie.
Les financements internationaux
Le Fonds pour l’Environnement Mondial (GEF) – contacts
Voici les contacts directs pour plus d’informations.
Comité de Préparation des Projets
Autres sources de financement : Sources de financement et mécanismes destinés à la protection de l’environnement. II s’agit essentiellement du Comité de Préparation des Projets (PPC), né de la Conférence ministérielle « Environnement pour l’Europe » en 1993, et du Fonds pour l’Environnement Mondial(FEM), créé en 1994.
La Banque Européenne d’Investissement (BEI)
Créée en 1958, la BEI est une institution autonome de l’Union européenne. Elle accorde l’essentiel de ses prêts à l’intérieur de l’Union mais intervient à l’extérieur au titre de la mise en œuvre des politiques communautaires de coopération avec les pays tiers.
La BIRD – structure et fonctionnement
La BERD – présentation
La BERD a été créée en 1991 dans le but spécifique d’aider les pays d’Europe centrale et orientale et les Nouveaux Etats Indépendants de l’ex-URSS à réformer leurs économies. Théoriquement, elle ne peut donc invoquer le risque-pays pour les projets qu’elle finance. La Russie est à la fois un
actionnaire fondateur de la BERD (à hauteur de 4 %14) et l’un de ses plus gros clients. La BERD se voit comme un investisseur, elle ne fait pas d’assistance technique.
La BERD – contacts et adresses utiles
Voici les contacts directs des représentants de la BERD pour plus d’informations ou pour une demande de dossier.
La BERD – le tiers-financement
La formule a fait ses preuves, à la fois par son efficacité et sa souplesse. Dans des pays où les moyens financiers n’abondent pas, la technique des ESCOs consiste à avancer l’équipement, gérer les factures d’énergie de
leur clientèle en garantissant leur maintien aux coûts actuels, à se payer sur la différence avec les économies réalisées et à rétrocéder les installations au bout de quelques années, une fois les investissements amortis.